Sans oublier les magnifiques Thangka (peintures tibétaines sur toile de soie) dont la collection du Musée Asiatica est l'une des plus belles et des plus complètes au monde de l'art Oriental en Europe.
1 rue Guy Petit 05 59 22 78 78
Découverte du monde fascinant des arts de l'Himalya à travers une collection composée d'œuvres en provenance des régions du Tibet, Népal, Cachemire, Almora, Himachal Pradesh, Nagaland (Assam) et des pièces saisissantes de beauté, de raffinement : sculptures, statuettes, masques, objets rituels, reliquaires, bijoux, toiles brodées, peintures sur tissu (thangka) ....
Découverte civilisations très anciennes, avec leurs croyances, leurs mythologies et leurs philosophies.
Elle est présentée dans l'espace de la Crypte Sainte-Eugénie du 11 avril au 28 juin 2009.
Musée et Plaisir du chocolat
Il y a 400 ans, les fèves de cacao débarquent au Pays Basque ...
L'histoire de Biarritz et celle du Chocolat sont intimement mêlées et confondues et pour le découvrir une visite dans ce musée s'impose.
Une visite inattendue à la découverte de l'univers du chocolat et de son histoire dans ce lieu unique qui révèle l'aventure de "l'or brun" à travers une collection exceptionnelle.
En exclusivité, une exposition de sculptures en chocolat.
Visites avec dégustation de chocolat !
, le Second Empire amorce le développement de Biarritz.
Celui-ci est poursuivi sous l'impulsion d'illustres families anglaises, espagnoles, russes qui ont vécu, aimé et animé cette station balnéaire.
Une grande partie du musée est consacrée à ces époques.
Situé dans une ancienne église anglicane, le musée raconte l'histoire de Biarritz : du petit port de pêche des origines à la station mondaine devenue "Plage des Rois".
ancienne église St-Andrew's, rue Broquedis
05 59 24 86 28
Le phare et le cadran solaire
Situé au bord de la falaise de la Pointe Saint Martin, au Sud de l'embouchure de l'Adour, le phare domine Biarritz.
Il est situé sur un rocher, ce qui obligea de mettre le susbstratum à 5 m de profondeur.
Sa construction dura de 1830 à 1832.
L'optique Fresnel est située à 73,20 m au-dessus du niveau de la mer et de 44,20 m au-dessus du sol.
Son feu est de 2 éclats blancs en 10 secondes, sa portée est de 26 miles, soit 55,56 km.
Pour facilité sa rotation, l'optique repose dans une couronne remplie de mercure.
Il fut électrifié en 1950.
Il est possible de gravir ses 248 marches lors de la visite.
À voir à côté, le cadran solaire analemmatique horizontal à style droit réalisé par Robert Majendie.
avenue de l'Impératrice
05 59 22 37 10
L'Église orthodoxe russe
Elle a accueilli d'éminentes personnalités comme l'impératrice douairière Marie Fiodorovna, mère de l'empereur Nicolas II ainsi que ses filles, la 2ème femme de l'empereur Alexandre II et la plupart des grands-ducs.
En 1892, l'année de la construction de l'église et parallèlement celle de l'alliance entre la France et la Russie, de nombreux Russes sont venus passer leurs vacances à Biarritz.
En 1917, parmi ceux qui ont pu fuir la Russie, certains se sont réfugiés dans cette belle région et actuellement, ce sont leurs descendants qui détiennent ce magnifique patrimoine où ils célèbrent le dimanche la liturgie.
Construite en 1892 dans un style byzantin par un architecte biarrot, M. Tisenet, elle possède un intérieur surprenant, dans lequel on peut voir l'iconostase et des icônes jadis de Saint-Pétersbourg.
8 rue de l'Impératrice
05 59 24 16 74
Église Sainte Eugénie
Depuis 1764 existait près du Port Vieux une petite chapelle Notre Dame de Pitié, sanctuaire des marins.
Détruite par un incendie en 1855, une petite chapelle de style romano-byzantin est reconstruite en 1856 au flanc de l'Atalaye, édifice actuel de style néo-gothique Renaissance datant de la fin du XIXe siècle avec ses murs intérieur en pierre bleue d'Arudy et en pierre d'Angoulême à l'extérieur, et dédiée à Sainte Eugénie, patronne de l'impératrice.
Sous l'église, la crypte abrite la tombe de Gaston Larre, 1er curé de la paroisse en 1884, qui en a décidé la modification, ainsi qu'un musée.
Elle est ouverte au public depuis le 11 avril 1903.
place Sainte Eugénie
la Chapelle impériale
Érigée en 1864 à la demande impériale d'Eugénie de Montijo par Boeswildwald (élève d'Eugé ne Viollet-le-Duc), cette charmante chapelle mêlant harmonieusement style roman-byzantin et hispano-mauresque a été dédiée à la vierge noire mexicaine Notre-Dame de Guadaloupe.
Classée monument historique en 1981.
rue Pellot
05 59 22 37 10
la Ferme basque
En basque Euskal Baserria, cette sculpture en acier Corten de Jorge Oteiza est mise le 28 juin 2006 sur la place Bellevue.
Largeur : 7 m.
Hauteur : 5 m.
Poids : 9 tonnes.
le Port des Pêcheurs
Créé en 1870, il reçoit des pêcheurs et des plaisanciers au cœur de la vieille ville.
Lieu pittoresque et coloré, il abrite aussi, grâce à ses petites maisons, anciennes cabanes des pêcheurs appelées "crampottes" construites à même la roche et aux couleurs basques entrelacées dans des ruelles étroites, quelques restaurants pour la dégustation de fruits de mer et des bars "tapas" à la mode.
Construite de 1889 à 1895 par l'architecte Alphonse Bertrand pour Marie-Belza Dubreuil, elle se dresse sur le rocher du Cachaous.
Sa situation insolite sur les rochers à proximité du "Pont du Diable", entre la côte des Basques et le Port Vieux, son nom de "Belza" signifie noir en basque, en ont fait pendant des décennies l'antre du mystère, alimentant les légendes les plus folles de sorcellerie ou de revenants.
Aujourd'hui restaurée après avoir failli tomber en ruine faute d'entretien et avoir été pendant les années folles, un cabaret et restaurant russe, elle est divisée en plusieurs appartements et revit au plus grand bonheur des Biarrots.
plage du Port Vieux, bvd du Prince de Galles
05 59 24 16 74
le Rocher de la Vierge
Emblème de la ville, le point de vue sur le rocher donne d'un côté sur la baie de Biarritz et sa grande plage, de l'autre sur la plage des Basques jusqu'à la ligne des Pyrénées au loin.
Ce nom est tirée d'une légende :
des baleiniers biarrots revenaient de leur fructueuse pêche vers le Port Vieux, leur port d'attache.
Mais le vent qui les guidait vers la côte se transforma en rafales, et ces valeureux pêcheurs se retrouvèrent au milieu d'une puissante tempête et perdirent tout point de repère, pourtant proches de la côte.
S'ensuivent alors des heures de combat à tenter de redresser la position de leur bateau, mais en vain, ils sentaient leur mort proche, connaissant les dangereux récifs jouxtant les côtes Biarrottes.
Pris d'un certain désespoir, ils furent émerveillés par une jaillissante lumière qui semblait les appeler vers la quiétude. Ils se laissèrent alors guider par cette puissante lumière, et rentrèrent au port, sains et saufs, pour les ¾.
Quelques croix furent érigées sur un rocher en souvenir des disparus, ainsi qu'une Vierge, telle qu'elle a été décrite par certains pêcheurs.
Napoléon III décida de percer ce rocher pour l'utiliser comme point d'ancrage de la digue du Port du Refuge qu'il voulait créer.
Le rocher fut relié à la terre par un pont en bois (actuellement une passerelle métallique attribuée à Gustave Eiffel ) et d'un tunnel comme l'Atalaye, pour permettre l'amenée des blocs de pierre destinés à la construction de la digue.
Celle-ci, faute d'entretien, a presque entièrement disparu.
En 1865, une statue de la Vierge, achetée à l'exposition franco-espagnole de Bayonne y est installée.
En 1854, quand Napoléon III et Eugénie de Montijo viennent à Biarritz,ils font construire la "Villa Eugénie", une résidence d'été, qui attire toute l'Aristocratie européenne et les artistes.
Il y a plus de 150 ans, Victor Hugo, en villégiature avec Juliette Drouet, prie pour que cette côte abrupte, ciselée par les dieux ne soit "jamais à la mode".
En 1893, la "Villa Eugénie" est transformée en hôtel de luxe sous le nom d'Hôtel du Palais qui voit défiler les têtes couronnées : la reine Victoria, l'impératrice Sissi, les Tsars Russes qui construisent l'église orthodoxe, Alexandre Nevsky, les rois du Portugal, de Belgique, de Pologne et de Roumanie, des Lords Anglais, les Grands d'Espagne.
Cabanes des Pêcheurs
Baptisées "crampottes", ce sont de petites et basses maisons de pêcheurs, située au Port de Biarritz, en faisant un lieu coloré et atypique.
Ces cabanes de pêcheurs se font de plus en plus rares, certaines deviennent de petites boutiques.
Ce port reste un endroit visité des touristes car c'est un lieu charmant et historique.
Galerie Page
En 1936, Georges Page décide de créer une galerie à Bayonne et après quelques années de rencontres artistiques et d'expositions, sa fille, Jackie Page, le rejoint.
En 1991, George Page meurt et sa fille installe la galerie à Biarritz.
Aujourd'hui, c'est la petite-fille du créateur qui continue la belle aventure.
BP 89, Plateau Atalaye, Rocher de la Vierge
05 59 22 75 40
