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Après des jours et des jours de pluie, voilà enfin le soleil qui réapparaît en ce jour d'Action de Grâces.
Les origines de l'Action de grâces au Canada remontent à l'explorateur anglais Sir Martin Frobisher (1535-94), qui tentait de trouver le passage nordique vers l'Orient.
En 1578, il tient une cérémonie formelle, sur le territoire actuel de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, afin de rendre grâce pour avoir survécu au long voyage.
Cette cérémonie est considérée comme la 1ère Action de grâce canadienne, et la 1ère à avoir eu lieu en Amérique du Nord.
Frobisher est subséquemment fait chevalier et son nom fut donné à la Baie de Frobisher, près de la mer du Labrador.
À la même époque, des colons français, ayant traversé l'Océan Atlantique et s'étant installés au Canada avec l'explorateur Samuel de Champlain (1567-1635), organisent également de grandes fêtes pour rendre grâce à Dieu.
Ils forment même "l'Ordre de Bon Temps" et partagent volontiers leur nourriture avec leurs voisins autochtones.
Avec la fin de la Guerre de Sept Ans en 1763 avec la cession de la Nouvelle-France à la Grande-Bretagne, les citoyens d'Halifax (Nouvelle-Écosse) tiennent une journée spéciale d'Action de grâces.
Après la Révolution américaine (1775-83), les réfugiés américains qui étaient demeurés loyaux (les loyalistes) au Royaume-Uni sont exilés des États-Unis et s'installent au Canada.
Ils apportent avec eux les coutumes et traditions de l'Action de grâces américaine, bien que, en tant que fête liturgique, l'Action de grâce au Canada corresponde également à la fête de la moisson européenne ; les églises sont décorées de cornes d'abondance, de citrouilles, de maïs, de blé et d'autres produits de la récolte, des hymnes de moisson sont chantés le dimanche de l'Action de grâces et les sermons sont tirés des histoires bibliques relatives à la fête de la moisson juive (la Souccot).
La 1ère Action de grâces au Canada après la confédération canadienne est un congé civil qui a lieu le 5 avril 1872 pour célébrer le rétablissement du Prince de Galles, le Roi Édouard VII (1841-1910), après une maladie grave.
Avant cette date, des jours d'Action de grâces sont observés commençant en 1799 mais n'ont pas lieu chaque année.
À compter de 1879, le jour de l'Action de grâces revient toutes les années mais est proclamé annuellement, la date pouvant changer d'une année à l'autre.
Le thème de la fête change également d'année en année afin de refléter un événement important.
Dans les 1ères années, c'était pour une moisson abondante et occasionnellement pour un anniversaire particulièrement important.
Après la Première Guerre mondiale, le Jour de l'Armistice et l'Action de grâce sont tous 2 célébrés le lundi de la semaine du 11 novembre.
Dix ans plus tard, en 1931, les 2 journées deviennent des fêtes distinctes, et le Jour de l'Armistice devient le Jour du souvenir.
Le 31 janvier 1957, le Parlement du Canada fixe la date au 2ème lundi d'octobre de manière permanente par une proclamation : "Une journée pour rendre grâce au Dieu tout-puissant des bienfaits dont jouit le peuple du Canada..."
Au Québec, la fête est peu célébrée.
Nous en avons profité pour aller nous promener au parc de la Yamaska, prendre une bonne marche de 5 km et d'y pique-niquer.
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Le réservoir Choinière possède une plage qui s'étend sur 220 m.
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Le réservoir Choinière constitue un lieu d'arrêt sur la route migratoire de plusieurs espèces d'oiseaux aquatiques, comme les oies sauvages par exemple.
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Pendant la promenade, nous sommes passés près du réservoir Choinière, un lac artificiel aménagé en 1977 sur la rivière Yamaska Nord, grâce à 2 barrages.
Sa superficie atteint 4,7 km².
D'une hauteur de 20 m, le barrage Choinière constitue le plus haut barrage du bassin versant et retient 86 786 800 m³ d'eau, ce qui crée un réservoir d’eau potable dans le parc de la Yamaska.
Il tient son nom vraisemblablement d'Augustin Choinière, père de Joseph Choinière qui fut conseiller et maire de Roxton Pond durant plusieurs années.